Paris n'avait pas que la Seine comme rivière qui la traversait tout ou partie...
La Bièvre en est un exemple :
Jadis ce cours d'eau dont on retrouve la trace dans le nom de certaines rues du cinquième et treizième arrondissement venait du plateau de Bièvre, entrait à Paris par la Poterne des Peupliers et se jetait dans la Seine au niveau de la Gare d'Austerlitz ou par une dérivation aux abords de Notre-Dame. Elle passait entre autre par les Gobelins, le square Réné-Le-Gall, la rue de la Glacière, le carrefour des gobelins, et la dérivation passait même rue de Bièvre (!)
Sa spécificité était qu'elle avait deux bras, un nommé mort et un nommé vif qui se distinguaient entre la Poterne des Peupliers et l'actuel carrefour des Gobelins.
Son usage était réservé principalement aux teintureries et aux usines de traitement du textile, ce qui fait que c'est devenu assez rapidement un égout à ciel ouvert.. et dire que l'hiver quand la bièvre gelait, on découpait les morceaux de glaces pour s'en servir... d'où la rue de la Glacière !
Canalisée depuis 1826, puis recouverte entre 1840 et 1912, la bièvre est presque une rivière fantôme si certains signes ne la rappelaient aux parisiens d'aujourd'hui.
à vous d'ouvrir l'oeil pour les trouver !
La Bièvre en est un exemple :
Jadis ce cours d'eau dont on retrouve la trace dans le nom de certaines rues du cinquième et treizième arrondissement venait du plateau de Bièvre, entrait à Paris par la Poterne des Peupliers et se jetait dans la Seine au niveau de la Gare d'Austerlitz ou par une dérivation aux abords de Notre-Dame. Elle passait entre autre par les Gobelins, le square Réné-Le-Gall, la rue de la Glacière, le carrefour des gobelins, et la dérivation passait même rue de Bièvre (!)
Sa spécificité était qu'elle avait deux bras, un nommé mort et un nommé vif qui se distinguaient entre la Poterne des Peupliers et l'actuel carrefour des Gobelins.
Son usage était réservé principalement aux teintureries et aux usines de traitement du textile, ce qui fait que c'est devenu assez rapidement un égout à ciel ouvert.. et dire que l'hiver quand la bièvre gelait, on découpait les morceaux de glaces pour s'en servir... d'où la rue de la Glacière !
Canalisée depuis 1826, puis recouverte entre 1840 et 1912, la bièvre est presque une rivière fantôme si certains signes ne la rappelaient aux parisiens d'aujourd'hui.
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