vendredi 11 octobre 2013

Un dernier vol et puis...

Ironie de l'histoire :
il suffisait que Jean Mermoz
traverse une rue
pour arriver devant le Brésil
(ou plus exactement, 
devant la maison du Brésil
dans la Cité Universitaire)
Au lieu de cela, il a pris son avion
et n'est jamais arrivé à destination...
mais bon...

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