mercredi 29 juin 2016

le paradoxe de l'expression murale

Finalement
les opposants aux graphes de rue
font également une expression murale...
et on ne les sanctionne pas ?
 
petit rappel juridique : 
 
"La destruction, la dégradation 
ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui 
est punie de deux ans d’emprisonnement 
et de 30000 euros d’amende, 
sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger. (...)
 
(Article 322-1 du code pénal)
 
donc détruire un graphe mural est (théoriquement)
aussi punissable que d'en faire un !
 
la loi ne doit-elle pas être la même pour tous ?

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