mercredi 22 décembre 2010

au Pays de Villon

à l'ombre de l'école polytechnique
non loin de l'université
où il fit ses humanités
avant de "mal tourner"
au point de disparaître
dans la nature
après avoir quelques démêlés
auprès de la Justice
Monsieur François Villon
récite ses poèmes
à ceux qui fréquentent ce jardin

"Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis."




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